ou quand le vécu s’enlise dans les non-dits, jusqu’à provoquer l’irréparable.
Christian rencontre son petit cousin Aubin et leur foi fervente crée entre eux une complicité inattendue. Séparés pendant l’année scolaire, ils ne se voient qu’en été et profitent de leur amitié réciproque autant que possible. Mais Aubin subit les brimades perpétuelles de son grand-père, bourgeois provincial suffisant et tyrannique qui le considère comme un moins que rien. Il devient de plus en plus renfermé et solitaire jusqu’au jour où le drame se produit…
Interpelée par le titre de l’ouvrage qui faisait étrangement écho à une situation vécue, je n’ai pas été déçue par le récit poignant de Christian Grenier. Il a su décrire la situation en trouvant les mots justes… Un récit pour réfléchir à sa propre conception des choses.
Ce soir-là, Dieu est mort – Christian Grenier. De La Martinière (Confessions)
[Valérie]
Dis donc quand tu t’y mets tu ne fais pas semblant ! 😉