Nous retrouvons Bridget : quinqua, mère de deux enfants et… seule ?! Eh oui… Helen Fielding a tué Mark Darcy ! L’histoire se déroule quelques années après le drame mais il faut bien le dire : certains passages vous tordent le cœur et j’ai bien failli y aller de ma petite larme. Heureusement, Bridget est toujours égale à elle-même : débordée et gaffeuse (imaginez le potentiel humoristique avec deux enfants…), tête en l’air et émotive. Ses amis, toujours fidèles au poste, se mettent en tête de lui remettre le pied à l’étrier… et quel étrier… !
Je vous laisse découvrir les ressorts de l’intrigue mais en tout cas, on peut le dire, le plaisir de lecture est intact ! Ce n’est pas seulement le fait de retrouver ce personnage emblématique de la chick-lit, point de nostalgie ici : Bridget Jones a pris le tournant du XXIème siècle en beauté ! Les nouvelles technologies (et leur potentiel sur le plan amoureux), semblent d’ailleurs avoir remplacées d’anciennes addictions !
Un soupçon moins léger que ces prédécesseurs, ce troisième tome se dévore avec plaisir !