Ambiance années 50, Edith Piaf en toile de fond.
Nous faisons connaissance avec Max, un matou ébouriffé qui a un blouson de cuir avec un aigle dans le dos. On dit tout un tas de choses sur lui, ses cheveux mal coiffés, sa moto vrombissante… pour sûr, il doit être louche avec sa drôle de dégaine.
Et cette souris qui se balade, le nez en l’air, elle n’écoute pas ce qu’on dit, ou quoi ? se promener l’air léger, comme si de rien n’était.
Rencontre entre nos deux personnages, bien sûr, il y aura… mais ce n’est pas forcément celle que l’on croit…
Avec cet album, Christian Voltz aborde très simplement le quand dira-t-on, la rumeur, la médisance, mais aussi les apparences qui peuvent être trompeuses.
Une histoire fantaisiste mais tellement vraie, où l’on retrouve la bobine si particulière des personnages de l’auteur. Des yeux en forme de boulons, un gros nez, des bras de fil de fer, et des décors en assemblage d’objets de récup’. (Allez voir son site, c’est chouette).
Un livre à lire et à relire, à partager et à diffuser.
Ce premier album de l’année est aussi l’occasion de présenter le challenge « Je lis aussi des albums » organisé par Le Hérisson. Son blog Délivrer des livres se concentre sur la littérature jeunesse, du petiot au jeune adulte.Le challenge sévit depuis plusieurs années. Cette année, je me lance… dans le BIG challenge, qui consiste à lire (et à chroniquer !) au moins 20 albums… En route, et bonnes lectures !
Voltz pour commencer le challenge, ça part bien!