Meilleurs voeux bibliovores pour 2018

Très belle année à tous. Que 2018 soit épanouissante, enrichissante, surprenante, palpitante, vivifiante à tout point de vue. 

Pour Ça sent le book, 2017 aura été un tournant, avec pas mal d’essais concluants. Je pense notamment à la tenue d’un planning de publication qui s’est révélé véritablement efficace, permettant une visibilité globale sur le mois, de faire le point sur ce qui a été lu, ce qui sera publié ou pas, de lisser les fréquences de publication et ainsi de garder le rythme. Les newsletters ont par conséquent été plus régulières, quasi hebdomadaires même, c’était inespéré. J’ai aussi appris à faire de vraies pauses, et sans culpabiliser du coup. 

Autre essai concluant, les coulisses du blog. J’ai pris du recul, j’ai réfléchi sur le blog, j’ai appris à me livrer un peu plus et il semblerait que les questions sur l’envers du décor vous intéressent donc à l’occasion, pourquoi pas. 

Côté stats, vous êtes de plus en plus nombreux à suivre ce blog, merci à tous !

Les challenges n’ont pas tellement été tenus, les lectures communes encore moins, ou alors si mais je n’ai pas partagé mes liens avec les organisateurs… Mais comme c’est toujours l’occasion de découvrir, d’enrichir la LAL (comme si elle en avait besoin…), d’échanger, j’aurais sans doute encore une poignée de tentations sous le coude à la fin du mois. En ce qui concerne mon auto-challenge classique, il est quasiment au point mort donc reconduit…

Et en matière de lecture, car c’est quand même l’essentiel n’est-ce pas, 2017 a été une année riche en lectures chavirantes et découvertes palpitantes. Je maintiens mon rythme global de lecture d’un roman par semaine, plus une vingtaine de BD, une centaine d’albums, sans compter les bouquins feuilletés pour le compte du boulot. 

S’il ne fallait en citer qu’une poignée, je retiendrais Les larmes noires sur la terre de Sandrine Collette qui m’a littéralement coupé le souffle, la magnifique rencontre avec l’écriture de Cécile Coulon, la grosse claque polar de l’année avec Tu tueras le père de Sandrone Dazieri (je viens d’ailleurs enfin d’entamer son second, Tu tueras l’ange, qui semble fait dans le même jus), le puissant et pudique Seules les bêtes de Colin Niel, ou plus récemment le deuxième tome de Vernon Subutex de Virginie Despentes (s’il n’en fallait qu’un dans la trilogie…), mais aussi les retrouvailles avec David Vann, William Faulkner, l’envie de rempiler avec la littérature américaine… Pas mal de romans noirs, on ne se refait pas… 😉

De très belles découvertes également en BD, avec notamment L’adoption de Zidrou (savoureux), La loterie de Miles Hyman (effrayant), ou Quelques jours à vivre de Xavier Bétaucourt (subjuguant).

Beaucoup de belles choses aussi en jeunesse, mais s’il n’en fallait que trois, le Voltz toujours très à-propos, les ogres trépidants de Gourounas, ou la ressourçante Louison Mignon d’Alex Cousseau et Charles Dutertre. 

Et vous, qu’avez-vous retenu de cette année ? Quelles ont été vos lectures marquantes ? 

 

© image d’en-tête Steve Simpson

 

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